Guéant : Une mise en masturbation examinée de près ! Qu'en sortira t'il ?

Tout est dans le préliminaire, il est vrai que c’est à ce moment que la sève monte que l’excitation grandie que les front se met à suinter, pas que le front d’ailleurs, les mains sont moites la bouche devient pâteuse et les idées se troublent. Les costumes deviennent étroits et beaucoup trop chauds, les effleurements s’accélèrent et l’envie augmente. Pourtant il y aura toujours un frigide au visage de cire qui ne sera pas réceptif, qui ne manifestera aucune émotion face à toute cette fermentation du plaisir. Il retiendra sa vigueur pour mieux paraître intouchable, même du bout des doigts et surtout pas du bout des lèvres. Pas une succion pas un suçotement, pas un frôlement, rien ! Juste une posture rigide presque une érection forcée prise depuis si longtemps qu’il en a oublié la fonction principale. Pourtant cette fois la justice va tenter de réveiller cet animal empaillé en venant le caresser doucement dans une étreinte préliminaire, une enquête sur le personnage pour tout savoir de ses petits secrets de ses gros fantasmes et des sales manies. Claude Guéant puisque c’est de lui dont on parle, commence à suinter de toutes parts, trouvant sa robe de cardinal bien inappropriée dans ces conditionsL. Lui qui préfèrerait le cuir près du corps pour enfourcher une moto noire payée au black qui l’emmènerait loin de cette pression qui lui irrigue le pantalon dans une poussée turgescente et incontrôlée. Lui qui avait cru pouvoir toujours tout expérimenter du haut de sa posture presque intouchable. Il découvre la nuance du « presque » celle qui humanise tout et ramène sur terre ceux qui s’étaient trop cuit près du soleil. Le voilà bientôt défroqué à l’aube de cette nouvelle journée, le cul nu attendant la fessée, espérant n’y prendre aucun plaisir coupable qui d’un doigt tendu le définirait tel un désir avoué.